Bulle papale pour l'année jubilaire 2025 : l'espérance ne déçoit pas
Puisse l'espérance remplir le coeur de ceux qui liront cette lettre

Voici le début de la bulle de l’année jubilaire 2025, publiée le jour de l’Ascension :
1. « Spes non confundit », « l’espérance ne déçoit pas » (Rm5, 5). Sous le signe de l’espérance, l’apôtre Paul stimule le courage de la communauté chrétienne de Rome. L’espérance sera également le message central du prochain Jubilé que le Pape proclame tous les vingt-cinq ans, selon une ancienne tradition. Je pense à tous les pèlerins de l’espérance qui arriveront à Rome pour vivre l’Année Sainte et à ceux qui, ne pouvant se rendre dans la ville des apôtres Pierre et Paul, la célébreront dans les Églises particulières. Qu’elle soit pour tous un moment de rencontre vivante et personnelle avec le Seigneur Jésus, “porte” du salut (cf. Jn 10, 7.9). Il est « notre espérance » (cf. 1 Tm 1, 1), Lui que l’Église a pour mission d’annoncer toujours, partout et à tous.
Tout le monde espère. L’espérance est contenue dans le cœur de chaque personne comme un désir et une attente du bien, bien qu’en ne sachant pas de quoi demain sera fait. L’imprévisibilité de l’avenir suscite des sentiments parfois contradictoires : de la confiance à la peur, de la sérénité au découragement, de la certitude au doute. Nous rencontrons souvent des personnes découragées qui regardent l’avenir avec scepticisme et pessimisme, comme si rien ne pouvait leur apporter le bonheur. Puisse le Jubilé être pour chacun l’occasion de ranimer l’espérance. La Parole de Dieu nous aide à en trouver les raisons. Laissons-nous guider par ce que l’apôtre Paul écrivait aux chrétiens de Rome.
Une parole d’espérance
2. « Nous qui sommes devenus justes par la foi, nous voici en paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ, lui qui nous a donné, par la foi, l’accès à cette grâce dans laquelle nous sommes établis ; et nous mettons notre fierté dans l’espérance d’avoir part à la gloire de Dieu. […] L’espérance ne déçoit pas, puisque l’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été donné » (Rm 5, 1-2.5). Nombreux sont les points de réflexion que saint Paul propose ici. Nous savons que la Lettre aux Romains marque une étape décisive dans son activité d’évangélisation. Jusqu’alors, il l’avait exercée dans la zone orientale de l’Empire, et maintenant Rome l’attend avec tout ce qu’elle représente aux yeux du monde : un grand défi à relever pour l’annonce de l’Évangile qui ne peut connaître ni barrières ni frontières. L’Église de Rome n’a pas été fondée par Paul. Il ressent le désir ardent de la rejoindre au plus tôt pour apporter à tous l’Évangile de Jésus-Christ mort et ressuscité, comme annonce de l’espérance qui accomplit les promesses, conduit à la gloire et, fondée sur l’amour, ne déçoit pas.
3. L’espérance, en effet, naît de l’amour et se fonde sur l’amour qui jaillit du Cœur de Jésus transpercé sur la croix : « En effet, si nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils alors que nous étions ses ennemis, à plus forte raison, maintenant que nous sommes réconciliés, serons-nous sauvés en ayant part à sa vie » (Rm 5, 10). Et sa vie se manifeste dans notre vie de foi qui commence avec le baptême, se développe dans la docilité à la grâce de Dieu, animée en conséquence par l’espérance toujours renouvelée et rendue inébranlable par l’action de l’Esprit Saint.
C’est en effet l’Esprit Saint qui, par sa présence permanente sur le chemin de l’Église, irradie la lumière de l’espérance sur les croyants : Il la maintient allumée comme une torche qui ne s’éteint jamais pour donner soutien et vigueur à notre vie. L’espérance chrétienne, en effet, ne trompe ni ne déçoit parce qu’elle est fondée sur la certitude que rien ni personne ne pourra jamais nous séparer de l’amour de Dieu : « Qui pourra nous séparer de l’amour du Christ ? la détresse ? l’angoisse ? la persécution ? la faim ? le dénuement ? le danger ? le glaive ? […] Mais, en tout cela nous sommes les grands vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés. J’en ai la certitude : ni la mort ni la vie, ni les anges ni les Principautés célestes, ni le présent ni l’avenir, ni les Puissances, ni les hauteurs, ni les abîmes, ni aucune autre créature, rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur » (Rm 8, 35.37-39). Voilà pourquoi l’espérance ne cède pas devant les difficultés : elle est fondée sur la foi et nourrie par la charité. Elle permet ainsi d’avancer dans la vie. Saint Augustin écrit à ce sujet : « Quel que soit le genre de vie, on ne peut vivre pas sans ces trois inclinations de l’âme : croire, espérer, aimer ». […]
Retrouvez le texte intégral ici.

Vous trouverez ici toutes les informations au sujet des "JMJ diocésaines" : Cela promet d’être un bel événement très porteur spirituellement. Un Rendez-vous à ne pas manquer ! La paroisse y participe. Frère Médéric y sera tout le long du WE, les autres abbés ponctuellement. Attention : cela s’adresse exclusivement aux jeunes déjà majeurs. Pour qui ? Etudiants et jeunes pro de 18 à 35 ans (pas de mineurs) vous pouvez vous inscrire comme pèlerin marcheur , ou comme pèlerin volontaire si vous ne souhaitez pas prendre part à la marche Quand ? Les 22 et 23 novembre 2025 Où ? A l'Abbaye de Murbach au cœur des Vosges Au programme: Marche & Pèlerinage(pour ceux qui veulent se mettre au service ou marcher !) Échanges & Enseignements sur le thème : 𝗟𝗲 𝗖𝗼𝘂𝗿𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗼𝗶 Prière, Louange & Adoration Découverte du retable de Buhl et de l'incroyable site de l'Abbaye ! RÉSERVEZ vite votre place ici 👇:

Choisissons de témoigner de la Vie, de la beauté et de l’espérance en Dieu, face à une culture de mort qui banalise la peur et la laideur. Cette année, la paroisse invite petits et grands à participer à la Marche des Saints , un temps missionnaire placé sous le signe de la joie chrétienne. Rendez-vous le 1er Novembre au Presbytère à 15h30 Venez costumés ! Les enfants (et les parents qui le souhaitent !) sont invités à venir costumés en leur saint patron ou en saint de leur choix ! Nous partirons en mission dans le quartier à la rencontre des habitants dans une ambiance joyeuse ! A l’inverse d’Halloween, où les enfants réclament des friandises, ici, ils offriront des bonbons et images de saints afin de témoigner de la joie de Dieu. Une vraie démarche de générosité et de partage ! Fin prévue à 17h avec un goûter festif. Participation : Pour que la fête soit complète, merci d'apporter gâteaux et boissons pour le goûter. Vous pouvez également apporter des bonbons pour la distribution (mais nous en prévoirons aussi !)

Chers paroissiens, Certains d’entre vous connaissent déjà l’œuvre de SOS Calvaires : cette belle association se consacre à la restauration des croix, calvaires et monuments religieux de nos campagnes. La jeune antenne de Colmar, fondée avec Joseph Schneider, l’un de nos paroissiens, ainsi que celle de Mulhouse, où œuvre Laurent Paglia, vous invitent à venir découvrir leur travail lors d’une présentation sur chantier, le vendredi 8 novembre, de 14h à 16h . Ceux qui souhaiteraient s’y engager ou simplement en savoir davantage pourront s’adresser à Joseph ou Laurent à la sortie de la messe. Merci à eux pour leur dévouement et à vous pour votre attention.

Outre les horaires prévus à l'église Saint-Joseph de Colmar, voici quelques liens pour vous aider à trouver un confesseur. Il est plus prudent de vérifier que les permanences de confession ont lieu, via le lien indiqué. Collégiale Saint Martin : Le samedi de 11h à 12h. Eglise Sainte-Marie : Sur RdV au 03 89 80 56 73 Eglise de Turckheim : Pendant l'adoration du 1er vendredi du mois (après la messe de 09h) Neuf -Brisach : - Au presbytère, le mardi de 16h30 à 19h - A l'église, le samedi de 10h à 12h (pendant l'adoration) - Sur RdV au 03 89 72 53 13 Aux Trois-Epis : De 09h à 12h et de 14h à 17h tous les jours (à la chapelle des apparitions) Für Deutschsprachige : Pater François Martz Sur RdV, à Biesheim.
Faire célébrer des Messes L’Église permet aux fidèles de s’associer à la messe par une intention particulière confiée au célébrant, à qui l’on a toujours reconnu la possibilité de joindre cette intention particulière à l’intention générale. La messe peut être demandée par exemple pour une action de grâce pour des jeunes mariés, un baptême, un anniversaire, un défunt, un malade, une guérison ou encore pour une intention particulière qui peut ne pas être précisée dans un souci de discrétion. Durant le mois de novembre, il est spécialement recommandé de faire célébrer des messes pour les défunts.

Pour la fête de sainte Faustine du 5 octobre, les Missionnaires de la Miséricorde ont lancé une émission qui sort le vendredi matin disponible sur toutes les plateformes de podcast (Spotify, Deezer, Amazon, Apple). En quatre épisodes, frère Etienne vous présente le Petit Journal de sainte Faustine. Il s’interroge dans le deuxième épisode sur la manière dont la religieuse polonaise traite de la compatibilité en Dieu de la Justice et de la Miséricorde. Le troisième épisode s’intitule le « secrétariat de la Miséricorde ». En effet, le Christ se sert d’humbles serviteurs pour diffuser son message et nous découvrons à cette occasion le rôle providentiel de son directeur spirituel le père Michał Sopoćko. Le dernier épisode décrit les œuvres de la Miséricorde. La diffusion du message de la Miséricorde n’est pas seulement la proclamation d’un titre à la gloire de Dieu mais une invitation à vivre concrètement cette spiritualité dans notre quotidien. La chaîne des « Missionnaires de la Miséricorde » poursuivra ensuite son aventure sur d’autres thématiques travaillées par les membres. Chaque mois, nous vous offrirons des enseignements de qualité en lien avec nos charismes. Aidez-nous à diffuser le message de la Miséricorde en partageant autour de vous ces émissions .

Certains s'interrogent sur l'utilisation de l'église pour un spectacle culturel. Voici quelques textes de référence : 1. Canon 1210 : Ne sera admis dans un lieu sacré que ce qui sert ou favorise le culte, la piété ou la religion, et y sera défendu tout ce qui ne convient pas à la sainteté du lieu. Cependant l’Ordinaire peut permettre occasionnellement d’autres usages qui ne soient pourtant pas contraires à la sainteté du lieu. 2. Guide administratif du diocèse de Strasbourg - Paragraphe I.8 sur les concerts dans les églises : A notre époque, comme précédemment, l’Eglise catholique porte un intérêt significatif à l’art, particulièrement l’art religieux, et aux artistes. La Lettre du Jean-Paul II aux artistes du 4 avril 1999 en est un très beau témoignage. La Commission épiscopale de liturgie et de pastorale sacramentelle et le Comité national d’art sacré se préoccupent des relations réciproques entre les communautés ecclésiales et les différentes formes d’art. Ce document aborde la question des concerts et manifestations culturelles dans les églises. Pourquoi ce texte ? Les demandes d’utilisation d’une église ou d’une chapelle, pour y organiser des concerts ou d’autres activités culturelles (expositions, conférences, etc…), sont de plus en plus fréquentes et mettent parfois les organisateurs ou les prêtres dans des situations embarrassantes. Aussi est-il nécessaire de préciser dans quelles conditions ces activités peuvent être accueillies. Le Conseil permanent des évêques de France, dans une note du 13 décembre 1988, précisait déjà les orientations . Le présent texte vise à en rappeler les grands principes et à préciser les enjeux d’ordre pastoral. A qui ce texte est-il adressé ? A Messieurs des curés et prêtres affectataires. Il serait souhaitable qu’ils puissent le communiquer à Messieurs les maires et aux responsables d’associations en vue d’une clarification et d’une harmonisation des pratiques, conformément à la loi civile et à la loi canonique. Les principes qui guident l’Église L’esprit de ce document repose sur trois principes : a. Le caractère particulier des églises La destination exclusive et permanente (affectation légale) des églises à l’exercice public du culte catholique est reconnue par la loi française . L’église n’est pas un simple lieu public, une salle disponible pour des réunions de tout genre. Elle est, par destination, le lieu où le peuple de Dieu se rassemble pour écouter la Parole, prier en commun, recevoir les sacrements, célébrer l’eucharistie et le mystère chrétien. Elle est un lieu sacré où chacun peut venir chercher Dieu, se recueillir et adorer la présence du Seigneur. L’église est, dans la cité, un signe de la dimension spirituelle de l’homme et une source d’espérance. La vraie manière de donner vie à une église est de l’utiliser pour le service essentiel pour lequel elle a été voulue et bâtie, c’est-à-dire la pratique de la religion catholique. b. L’attention de l’Église catholique à la culture L’Église se réjouit de tout ce qui peut développer les attitudes d’admiration et de contemplation, de tout ce qui élève l’homme selon le projet de Dieu et contribue à l’ouvrir aux valeurs spirituelles présentes dans la culture. La foi chrétienne a grandement contribué à la culture. Pour mieux prier et adorer, les ministres du culte et les fidèles ont sollicité les artistes. Ainsi l’art sacré naît de l’expérience chrétienne. Pour ce qui est de la musique, l’Église a suscité la création d’un répertoire d’une richesse inestimable, et le Concile Vatican II a adressé aux artistes un message fervent : « Vous tous, artistes… l’Église a, dès longtemps, fait alliance avec vous… Vous l’avez aidée à traduire son divin message dans le langage des formes et des figures, à rendre saisissable le monde invisible. Aujourd’hui comme hier, l’Église a besoin de vous et se tourne vers vous… Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas sombrer dans la désespérance. » La musique demeure ce merveilleux langage dans lequel les hommes peuvent se rencontrer au-delà de leurs divergences. c. L’attention portée aux associations L’hospitalité offerte est signe de l’égard porté aux aspirations humaines. C’est pourquoi, l’affectataire peut accueillir des concerts donnés pour l’entretien ou la restauration d’un orgue, ou pour d’autres œuvres, sous certaines conditions, s’ils ne portent pas atteinte au caractère sacré de l’église. Conséquences de ces principes L’édifice est affecté au culte catholique. L’affectataire est régulièrement désigné par l’évêque. Il est le responsable de l’utilisation de l’église , même quand la commune en est propriétaire. C’est donc à lui qu’il revient de prendre les décisions d’acceptation ou de refus, en concertation avec la Commission diocésaine compétente nommée par l’évêque. Les églises peuvent abriter les concerts et manifestations culturelles qui expriment explicitement la spiritualité chrétienne. Elles ne peuvent accueillir que des manifestations culturelles qui ne soient pas contraires à la sainteté du lieu, aux convictions religieuses de la communauté qui s’y réunit et aux exigences d’une authentique culture humaine et chrétienne. Des demandes de manifestations culturelles se présentent et peuvent être acceptées, pour rendre service à la communauté locale, quand l’église apparaît comme le seul endroit possible (en raison de sa capacité d’accueil, de son orgue, etc…). Elles sont inacceptables quand l’utilisation de l’église a pour seul but d’économiser la location d’une salle ou d’éviter la construction d’un local adapté. (...) La liberté d’entrée Des opérations purement lucratives ne sauraient être cautionnées. Il est normal que les organisateurs accordent aux artistes la juste rémunération à laquelle ils ont droit. Ils doivent aussi supporter les taxes et droits d’auteurs (SACEM). Mais si le concert a lieu aux heures où les églises sont normalement ouvertes, les conditions d’entrée doivent, autant que possible, permettre l’accès de tous et particulièrement des fidèles qui désirent venir prier ; la participation libre, l’entrée libre, avec collecte ou vente de programmes, peuvent être de bons moyens de rémunérer les artistes. « Étant donné la diversité des situations, il n’est pas possible d’ériger des normes valables pour toute la France. S’il le juge bon, l’Ordinaire pourra permettre que soit perçue une participation individuelle aux frais, en veillant à ce que les fidèles puissent venir librement prier aux heures habituelles d’ouverture de l’église (n°8) » (...) L’organisateur s’engage à faire respecter les lieux, ce qui suppose dignité, tenue, propreté, interdiction de fumer (y compris à la sacristie et à la tribune de l’orgue). Il s’engage à faire respecter tous les lieux où sont célébrés les mystères chrétiens, tout particulièrement l’autel, le tabernacle, le siège de présidence et l’ambon (s’il y a un commentateur, il prendra place ailleurs), la baptistère… La remise en ordre doit se faire dès la fin du concert et les dégâts éventuels réparés. De son côté, le prêtre retirera les objets habituels du culte. Il sera parfois préférable qu’il transfère le Saint-Sacrement dans un autre endroit approprié. Cependant, il ne retirera pas les objets signifiant que l’église est un lieu chrétien, sacré, et notamment l’autel. L’enjeu pastoral Attentif aux motivations de la demande, l’affectataire mesure l’enjeu pastoral de l’acceptation ou du refus de la demande. Les responsables paroissiaux exercent une fonction pastorale s’ils reçoivent de leur mieux les artistes et les auditeurs, s’ils facilitent la tâche des organisateurs, s’ils offrent aux artistes un vestiaire fermé, s’ils apportent leur concours à la réalisation d’un feuillet qui donne éventuellement la traduction des textes sacrés. Il semble normal, autant que possible, que ce soit un ministre du culte, ou son représentant, qui accueille les auditeurs. Une église ne doit pas cesser de signifier la gloire de Dieu et le salut des hommes. La société ne peut que gagner à ce qu’une œuvre soit exécutée dans le cadre pour lequel elle a été composée.

Ce samedi à 10h30. Nous proposons à tous les enfants (Moyenne Section à CM2) de venir adorer le Saint-Sacrement, une fois par mois, le samedi matin à l'église Saint-Joseph, pendant une grosse demie-heure : de 10h30 à 11h10. C'est ce qu'on appelle un groupe d'enfants Adorateurs. Cela permet aux enfants d'approfondir le sens de l'adoration et de l'intériorité. Et c'est une magnifique école de prière pour eux. C'est un bon complément de ce qu'ils reçoivent au catéchisme chaque semaine. Leur prière est aussi une prière d'intercession pour toutes vos intentions, celles de vos familles, de la paroisse et de toute l'Eglise. Vos enfants seront guidés (chants, silence, petites explications) par des parents volontaires et expérimentés. Les abbés seront aussi dans les parages. Pourquoi proposer ce temps d'adoration le samedi matin ? - Parce que c'est un moment où l'église Saint-Joseph est ouverte avec le Saint-Sacrement exposé et des passants qui viennent s'y recueillir. L'exemple de la prière des enfants sera édifiant et réconfortant pour eux. - En outre, vous pouvez, pendant ce temps, vous associer à la prière avec vos enfants, - ou bien tout simplement faire vos courses de bons produits du marché, - ou encore accueillir dans l'église avec l'équipe d'accueil missionnaire qui vous guidera. Ce groupe d'enfants adorateurs est une proposition facultative et sans engagement, sans lien particulier avec le catéchisme paroissial. Si vous êtes prêts à aider ponctuellement les mamans/papas responsables du groupe, n'hésitez pas à vous faire connaître auprès des abbés. Voici les dates des samedis pour les Enfants adorateurs en 2025/2026 : - 20 sept - 11 oct - 8 nov - 13 déc - 10 janv - 14 fév - 14 mars - 11 avril - 16 mai - 13 juin

Programmation jusqu'au 14 octobre, à Colmar et Mulhouse : - au CGR de Colmar : 7 oct à 18h / 10 oct à 17h55 / 12 oct à 18h / ... - au Kinepolis de Mulhouse : 8 oct à 20h / 9 oct à 13h35 et 15h40 / 10 oct à 13h35, 15h40 et 18h20 / 11 oct à 18h20 / ... Il faut réserver ses places. Il y a 350 ans, en France, Jésus a fait connaître son Coeur brûlant d’amour à Sainte Marguerite-Marie. Aujourd’hui, dans le monde entier, la puissance du Sacré-Coeur transforme encore des vies. Un docu-fiction saisissant qui nous plonge au cours des siècles dans le mystère du Sacré-Coeur de Jésus et nous révèle son Amour personnel et inconditionnel.

